La chanteuse faisait l'honneur de son premier concert en Stade au public français, il n'a pas été déçu. Rihanna a enflammé le Stade de France hier, après une première partie dantesque assurée de main de maitre par le DJ français David Guetta, qui a littéralement chauffé le public pendant un set d'1h15, enchainant ses propres tubes avec ses coups de coeur electro.
Quelques minutes plus tard, la bombe des Barbades arrivait devant un public affamé de sa présence, en commençant fidèle à ce qu'elle promettait : poses suggestives et lassives, chorégraphies chaudes et provocantes, mais en assurant une partie vocale avec brio, calmant les ardeurs de ce qui auraient voulu voir en elle une artiste dézinguée par les excès incapable d'assurer un concert. La voix est là, et bien là, rappelant que la chanteuse, aussi douée en danse soit-elle, est avant tout une artiste capable de chant pur, de mélodies et d'émotion. Les chansons sont vraiment interprétées, de la voix au bout des doigts, et Rihanna fait bien partie du top des Divas mondiales.
Passant à une nouvelle catégorie avec cette première tournée des stades, elle n'est pas encore dépassée par les effets spéciaux, la scénographie ou les écrans hyper-géants et les décors monumentaux, contrairement à certaines de ses consoeurs. Non, ça reste encore humain. Proposant ses chansons par paquets de 3 à 5 lors de sets thématisés, Rihanna alterne ses premiers tubes, les extraits de son dernier album Unapologetic avec tact, avant de propose un set composé de ses ballades, et un autre qui enchaine ses plus gros tubes dansant, comme Only Girl ou Umbrella. A chaque nouveau set, une nouvelle tenue, qui mettent les courbes de la diva en avant, sans tomber dans le "nu à tout prix".
Certaines chansons sont aussi l'occasion de se rappeler que Rihanna est une adepte du reggae et de son ryhtme particulier, avec l'influence de la musique des Barbades (Rude Boy). Alors que la fin se déroule dans l'émotion, avec l'enchainement de Stay et Diamonds, qui prend ici une grandeur en live qu'on ne lui soupçonnait pas sur l'album. Un peu comme la chanteuse, en fait, qui livre ici un sans faute qui la replace comme une artiste sérieuse.
N'oublions pas la troupe qui l'entoure : les danseuses, les choristes, et surtout les guitaristes sont au top, pour nous faire ressentir un concert où la musique sort gagnante. Et le public ressort charmé de cette jeune femme qui a avoué vivre une belle expérience avec ce premier concert en stade, et les réguliers "Parissss" ou "Stade de France" lachés par Rihanna, avant de l'entendre prononcer en fin de concert ses premiers mots en français "Merci beaucoup". Nul doute que les quasi 80.000 personnes présentes ce soir-là la remercient aussi.
Beyoncé en concert à Paris-Bercy : la reine des divas, c'est bien elle
A l'occasion de la sortie d'Iron Man 3, et globalement à chaque fois qu'un acteur signe pour une grosse production, on reparle des gros chèques qu'ils touchent, et Robert Downey Jr semble tenir le haut du classement, avec un salaire avoué de 50 millions de dollars pour sa participation à Avengers. Mais vous allez voir qu'il n'est pas le premier à toucher des chèques de salaire de plus de 20 millions de dollars (longtemps considéré comme une norme de superstar) ni celui qui a touché le plus, d'ailleurs il ne figure pas, avec ce salaire, dans les 10 plus gros salaires d'acteurs de tous les temps. 
Beaucoup de trophées, donc beaucoup de gagnants pour cette cérémonie qui récompense chaque année les meilleurs vendeurs de l'indsutrie musicale, les artistes qui ont connu le plus de succès sur les derniers mois dans chacune des catégories musicales. Pour s'y retrouver et voir si votre artiste préféré(e) a remporté une ou plusieurs distinctions, voici la liste complète des gagnants aux Billboard Music Awards. 
Le sport, ça rapporte. C'est ce qu'on peut se dire en voyant la liste des sportifs les mieux payés sur l'année. Si le boxeur Floyd "Money" Mayweather est toujours N°1 du classement, il porte mieux que jamais son surnom. Il a en effet touché 90 millions de dollars, dont 50 millions rien que pour son combat du 4 mai 2013 face à Robert Guerrero. 
Le site CelebrityWorth, filiale du Huffington Post, a publié la liste des célébrités du monde du spectacle les plus riches, mortes ou vivantes. C'est-à-dire leur valeur cumulée en droits d'auteur, payes, et biens personnels. Et vous allez voir que ça donne le tournis. 
On s'attendait à un grand show à l'américaine, et non seulement on n'a pas été déçu, mais on a été époustouflé ! Calibré, précis, pointu, le spectacle de Beyoncé à Bercy utilise toutes les armes absolues de la pop internationale moderne : écrans géants, jeux de lasers, son ultra boosté. Mais toute cette technique n'empêche pas au spectacle de balancer régulièrement dans l'émotion, et surtout d'emporter tout sur son passage quand il doit être efficace. Même les traditionnels temps de changements de costumes (et il y en a) passent bien, grâce à des cinématiques efficaces. 
Et c'est justement dans ces vidéos d'intro, dans laquelle Beyoncé se transforme en couronnée reine Marie-Antoinette de la chanson, qu'on voit que la jeune femme revient au top, après une pause bébé, pour reprendre, si toutefois certaines avaient osé lui prétendre, le titre officieux mais très convoité de reine incontestée de la pop, reine des divas. Le concert n'a souffert aucune mauvaise note, contrairement à la dépassée et playbackesque Madonna ou la trop provocante-pour-être-tout-à-fait-une-chanteuse Lady Gaga. Ne parlons même pas de Rihanna, présente dans la salle en tant que spectatrice, plus souvent médiatisée pour ses soirées arrosées que pour ses perf vocales. 
Queen Bee chante, danse, interagit avec le public, supplante ses choristes, réussit à composer une troupe musicale uniquement avec des femmes, le tout pendant 2 heures. Des poussées vocales qui bluffent, et rappellent que la dame n'est pas qu'un produit de clips, alternées avec des hits imparables, réorchestrés parfois pour la scène. Une scénographie d'ailleurs qui use de ficelles certes classiques, mais encore une fois efficaces : traversée de Bercy au-dessus de la tête des spectateurs de Bercy, petit coin limite lounge pour l'intimité autour de quelques spectateurs privilégiés et VIP. Mais on le dit, on le répète : même si le show est huilé, mécanique, millimétré, et efficace, il est rempli de l'humanité de son interprète, qui aime à nous rappeler qu'elle est juste une jeune femme originaire du Texas qui sait aussi vivre sa vie de femme. 
50e à 41e place
40e à 31e place
30e à 21e place
20e à 11e place
10e à 1ere place
40e à 31e place
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Quel est le film qui a remporté le plus d'Oscars ? Quel acteur en a obtenu le plus ? Review de presse répond à ces questions, et à bien d'autres, grâce aux chiffres-clés de la cérémonie, et aux anecdotes les plus incroyables. 
Un record est tombé lors de cette cérémonie 2013 des Oscars : Daniel Day-Lewis est devenu l'acteur le plus oscarisé, avec une 3e statuette pour Lincoln, après celles récoltées pour My Left Foot et pour There Will Be Blood. Jack Nicholson était jusque-là l'acteur qui possédait le plus de statuettes : 2 pour le meilleur acteur (Vol au-dessus d'un nid de coucou, Pour le pire et le meilleur), 1 pour le second rôle (Tendres Passions). Soit un total de 3. Il a eu 13 nominations en tout. Tom Hanks a réalisé une performance inédite : il a gagné cet Oscar du meilleur acteur 2 années de suite, pour Philadelphia et Forrest Gump, en 1992 et 1993. 
Une seule femme a remporté l'Oscar de la meilleure réalisatrice, il s'agit de Kathryn Bigelow pour Les Démineurs, c'était en 2010 ! 
A l'inverse, certains sont repartis bredouilles. Les plus marquants sont La Couleur Pourpre de Steven Spielberg, qui avait 11 nominations, et Gangs of New-York, de Martin Scorsese, qui avait pourtant accumulé 10 nominations. 
Vendredi 22 février avait lieu la cérémonie des César. Entre moments drôles ou pathétiques de cette soirée, force est de constater que faire de l'humour lors de cette soirée relève de la prouesse, vu l'ambiance de compétition et de tension qui règne dans la salle, aux nominés. /fdata%2F4049516%2Favatar-blog-1184958260-tmpphpvAGjbB.jpeg){kind=avatar}
